Sunday, February 21, 2010

XXI Olympics Podium – it belongs to the winner, not the wannabe/Le podium appartient aux gagnants et non pas aux Elvis en herbe.

Au désarroi d’un nombre de Canadiens, les organismes du VANOC et la presse s’étaient embarqués dans l’histoire du Own the Podium. En voici l’histoire.

To the embarrassment of some people, Canadian Sporting organisations had joined the Own the podium « technical program » back in 2005. Our lack of medals at the Vancouver games is drawing criticisms from the US, the UK and others. (see the links below).


C’est bien de se faire concurrence et c’est bien de gagner, mais s’affubler d’un slogan de ce genre me semble contraire à l’esprit de fair play que possédait le Canada auparavant.
La presse américaine et d’outremer vient de réagir. Ainsi le Chronicle de San Francisco suggère “ Own the Podium? Right phrase, wrong country ".
La presse anglaise (BBC) avait également trouvé à redire sur l’approche qu’avait adoptée le Canada.
Le Devoir explique les origines du programme; the Montreal Le Devoir provides an explanation.
Le Monde constate que vouloir n’est pas pouvoir. The French Le Monde takes a wait and see attitude.


Est-ce tellement difficile d’une part d’assurer une réception parfaite de tous les participants aux JO et d’encourager nos propres athlètes à atteindre de nouveaux sommets d’autre part?
Il me semble que nous avons presque saboté certains de nos concurrents en leur interdisant de s’entraîner sur le site des JO.
Is it really that hard to on one hand to provide the best facilities possible to all the Games participants while at the same time encourage our own athletes to do their best?
It appears as though we have almost sabotaged some of our competitors in not allowing them to train at the Games facilities. 

Thursday, February 18, 2010

Vancouver XXI Olympics – XXI Jeux Olympiques de Vancouver

La presse a fait écho des problèmes de traduction vers le français – discours d’inauguration parsemés de mots français, etc. Ce n’est pas un problème inusité, surtout à Vancouver.

French translation problems during the opening ceremonies were brought out in the press. The speeches by the VANOC people contained token French words instead of having actual paragraphs or sentences in French.

I was visiting the web and found a very good cartoon which says it all:

 
Le dessins ci-dessus illustre bien la façon dont ce manque de français a été accueilli.

Dragon – Writing an article on the dictaphone! Création d’un article au Dictaphone


I have recently been asked to write a short  article for a professional publication.  I knew what I wanted to say so it was just a matter of putting it down on paper. That done, I wanted to hear it read and remembered that my Dragon Voice Recognition software has a text-to-speech feature.  So I opened the appropriate boxes and found the option for that function.  Cut & paste and I was listening to my article being read in English by an artificial voice!
L’article que je viens de composer pour une publication professionnelle était en anglais et je voulais voir quelle impression il donnait. Je me suis souvenu que le logiciel Dragon a également une fonction de synthèse vocale. Il suffit de copier-coller le texte dans une case appropriée et la machine vous donne la lecture de l’article par une voix artificielle.
Encouragé par ce succès, j’ai décidé de dicter une version française du même article. J’ai tout simplement modifié la langue dans Dragon (il y a un grand choix de langues dans chaque logiciel ) et j’ai commencé à dicter en français. Formidable, le français s’affiche à mesure que je dicte. J’ai dû revenir à quelques reprises pour faire des petites corrections, mais c’est surtout parce que je ne maîtrise pas encore la dictée à 100 pour cent.
Emboldened by the English results, I decided to create a translation of the same article but in French this time. In the same Dragon software, I selected French this time and just “talked” the translation through.  It was amazingly easy and only a few corrections were required because I am not quite used to the software yet. I can also select the text-to-speech feature and have the computer read the article back to me in French.
As with any tool, practice makes perfect and I intend to use dictation more often, both in English and in French. Comme pour tout nouvel outil, il suffit de s’en servir suffisamment pour l’apprivoiser.