Canoe – Infos – Québec-Canada: À la poubelle
Il semble qu'il y ait des malentendus entre les différents ministres et que la main droite ne sait pas ce que fait la main gauche.
As "progressive" as it is to drop spelling in language teaching, it may I am afraid just create several levels of knowledge. For a translator, especially one writing text to be read by the general public, absence of proper spelling, accents, etc. would spell disaster.
Here is the article I pulled from the Radio Canada website on 21 November 2005 entitled: "Les futurs profs échouent au test de français" (Future profs fail their French test):
Les étudiants en enseignement ne maîtriseraient pas la plupart des notions de base du français. Selon une tournée du Journal de Montréal dans cinq universités du Québec, entre 40 % et 79 % de ces étudiants ont échoué au test de français qui leur a été soumis.
Les étudiants devaient obtenir une note de 75 % à cet examen, qui mesure des connaissances grammaticales acquises à l'école primaire et au secondaire. Or, à l'Université de Montréal, 76,8 % des candidats à l'enseignement n'ont pas obtenu la note de passage.
Il s'agit d'un recul par rapport à 2004, où 74 % des répondants avaient dû suivre des cours de « mise à niveau » linguistique avant d'obtenir leur diplôme.
Selon le quotidien, la situation est encore plus sombre à l'Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue, où 79 % des étudiants inscrits cette année n'ont pas réussi l'examen. À l'Université Laval, près de 7 étudiants sur 10 ont échoué, tandis qu'à l'Université du Québec en Outaouais, ce taux atteint 57,9 %.
Selon les responsables interrogés par le Journal de Montréal, les mêmes lacunes reviennent d'un étudiant à l'autre:
l'accord des noms communs au féminin;
la règle du pluriel de certains noms, comme « hiboux, choux, genoux, bijoux, joujoux et poux »;
la ponctuation;
les modes et temps des verbes;
l'emploi approprié des auxiliaires « avoir » et « être ».
Maybe translators will have to learn a new language?